Playlist



Playlist de mon Mix de March Caméo. Décortiquée. Irrémissiblement électro. (assez rare pour être souligné)
Clap Mike, petit génie génial! Je ne le présente plus, même à Miami on entend parlé de lui. Music is the Answer, bien filtrée comme j'aime. Un crush. Un caprice.
Agent Stereo, un dude talented de Santiago de chile. Un zig que j'apprécie. De la house disco funky sexy. Et ça sort de chez 4Disco Records.
Hana Yori Kichou Na, nouveau talent 'French Touch' (approximation) que j'ai découvert l'été dernier. Un petit jouvenceau en qui je crois qui a signé chez Exquise Records.
Defeat. J'aimais déjà ce garçon quand il faisait du drum & bass et bien, au risque de déplaire, il est passé à l'électro. Moi ça me plaît. Donc forcément j'ai jeté mon dévolu sur Unbreakable, un coup de coeur.
Andrea. Vous ne le connaissez probablement pas. Mais si je vous dit qu'avant c'était Electric Toyboy peut être que c'est plus clair. Ou pas. J'ai choisi Unleash. Non ce n'est pas bourrinement trash, c'est vitaminé. Ultra.
Are you in the picture? Hun? Une perle (ou une bulle) présent sur Extra Temporary, un EP 'bonus' de 6 tracks inédits sortit le 14 mars dernier. Du 200 pour 100 SMD, pas de featurings intempestifs, pas de shitty pop songs. J'aime.
La Phobie. Disco House. Mouvement.

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FOCUS ON


KOLLEKTIV TURMSTRASSE, le duo qui ROCKS!


(rapidshare 155 Mo 1:07:39)

Un des plus beau live qu'il m'ait été donné d'écouter. En boucle - Depuis des mois. Immanquable.

Pour vous convaincre de clicker, je vous dirais juste que Kollektiv Turmstrasse, c'est tout naturellement un duo d'Hamburger (des Hambourgeois quoi!) Christian Hilsher et Nico Plagemann). Et, listen up! Ces petit dudes sont - des dieux - des GODS de l'électronique.
Ils nous offre à chaque sortie, chaque live ; des odes à l'amour et à l'évasion psychique (et ode est à prendre au sens littéral, dans leur prods se côtoient fréquemment instruments classiques - violons, pianos - et sonorités + undergrounds). Une musique rythmée et hypnotique, de la minimale hyper efficace en soit. De vrais passionnés quoi!

Bref, une live raffiné, rempli d'émotion, très bien construit, à la fois mélancolique et groovy. On retrouve des sons naturels, des petits chants de mouettes du Cap Ferret, des enfants chiliens qui jouent à la balle au prisonnier.
Un doux voyage dans le monde des Turmstrasse, qui chatouillera vos oreilles, délivrera les rêves et fantasmes enfouis au plus profond de votre bulbe rachidien. Tout cela en faisant trémousser vos gambettes.

Et Ils sont en tournée partout en Europe!
Vous pouvez toujours aller les voir au Rex - Ha non c'était y'a quinze jours. Ha ha ha -

Misc.



Un old post que j'avais fait sur Prolixe I et des morceaux que j'ai du poster euh.. des dizaines de fois pour certains. Bref, Jerôme ne va pas être content. Lui et ses posts fluokids.
Vous allez voir, il ne va presque pas y avoir de techno, j'avoue, j'en écoute pas des masses en ce moment -mais je suis tout de même à l'affût de tout son à consonance afro-ethnique-latine-sudine, technoïde ou pas (email moi).
D'ailleurs, le truc c'est que je suis en train d'accumuler BEAUCOUP de retard depuis quelques semaines.. J'écoute très peu de 'nouveautés', fini les nuits à traînailler sur Beatport et Kompakt. La faute à qui? Ma vie. Mes études. Et fukkk, heureusement que vous m'envoyez PLEIN de petites choses.. sinon je ne serais pas en retard.. mais larguée/hors sujet/tu sors.
M'enfin, fort heureusement, j'ai toujours quelques perlinettes en stock (même si je ne parierais pas qu'elle soit inédites pour vos oreilles).

Let's get started avec de la minimale (hé oui tout de même) et Misc. (with a dot!). Un duo allemand. Rien de très original à dire à part que c'est good good good. Hypnothisant, planant. Le concepte de sexualisation auditive a pris une nouvelle orientation dès lors que j'ai écouté Schock pour la première fois. Un peu comme si je m'étais rendue compte que mes esgourdes (oreilles) étaient encore pucelles d'une certaine forme de pénétration. N'ayez crainte, j'y ai remédié.


Pilot - une atmosphère calme, plate, posée, placide. Une atmosphère qui t'incite à excurser ta petite tête dans le macrocosme d'une galaxie inconnue. Un truc super pas planetoïde tu vois.. Et puis BAM, à la 2 ème minute, tchik tchak tout change, comme si les radars de notre véhicule spacial s'agitaient car ils auraient détecté une astéroïde suspecte dans notre champ magnétique... Yolala. BREF. Renegade.. et bien encore des swedish, il faut dire que la nouvelle scène electro-pop suèdoise est ultra productive ces dernières années. MAIS là il faut enlever le terme pop car ceci est de l'électro. De la très bonne. Ce duo a un petit côté daft punkiens voire french touché très appréciable. Et même très charmant. J'ai vu des comparaisons avec -Danger partout sur la toilette / un peu simpliste et raccourcie comme comparaison.. M'enfin, Renegade rocks!


Poligono. Premier mot qui me vient à l'esprit -> psychotropique (aucun rapport avec les Bahamas). Un petit dude from Merrrico. Un newcomer je dirais même. J'étais tombé sur son mix sur la compil Disturbed Beats 013, ce qui avait bien sûr attisé ma curiosité maladive. J'avais donc pris la peine d'écouter son ep 'Caguama Noise' et.. j'en viens au fait.. j'ai était plus que séduite.
Golondrino est un titre technoïde avec cet espèce de groove - style compénétration mexicaine. Encore un truc cosmique cosmopolite / Quel blog ouvert et coloré dîtes donc!
Bref, Golondrino est un très bon morceau, j'adore le côté groovynou que donne la bassline et les petits gimmicks présents genre mexican afternoon at the beach. C'est cycliquement répétitif (sisi! et c'est un compliment) et ce 'wowo' houseux tout au long du morceaux ... greatissime.


Matias Aguayo et. Moi. Une histoire. Une longue histoire. Je crois même que je vais devoir me résonner sinon j'en parlerais des heures - ou alors je lui consacrerais un post entier - à voir. Bref, vu que j'ai décidé d'arrêter ce 'blog' à la mode confessions intimes pour aller droit au but, je vais la faire short. Et aussi parce qu'ils en font une putain de pub pour Aguayo chez Kompakt! Et bien oui, je suis enfin parti le voir ce fameux Matias. En vrai. Et.. quel show. Comme toutes les Kompakt Parties en fait. M'enfin.
Aguayo, pour ceux et celles qui ne le connaisse pas, c'est le gars qui se permettait/oser clamer son ras le bol envers la minimale BASTA YO DE MINIMAL en fredonnant que celle-ci n'a pas de couilles (elle a peut être une foufoune keskilenc hein) et pas de groove. Et qui nous demandait -pourquoi ne pas plutôt danser? Raaa j'avais trouvé ça un peu louche venant d'un kompaktien, qui plus est collègue de Ricardo V (ouai juste V) et de Boratto.
Bref, cela remonte à 2008 et en plus ce titre, releasé en période estivale, avait chuper tourné en club. Toujours est-il, qu'étrangement j'adore le morceau. Et pourtant, qu'est ce que j'ai pu entendre comme critiques-reproches-attaques voire carrément haine vis à vis de ce titre. Souvent jugé trop mou. Bouseux. Eccsétéra. BREF, et ben moi, ce que j'adooore chez Matias, c'est ce non-conformisme aux dictats de la musique électronique envers lequel il fait preuve. Ce qu'il fait est d'une telle originalité.. déconcertant - et si cela entraîne des tonnes de critiques de la part de certains ultra-conservateurs, et bien too bad que veux tu.
Donc je disais (je vais me répéter) 1. il est chilien 2. super poto avec Gui Boratto et Lucien-N-Luciano (lui aussi qu'est ce que je l'aime vous le savez) - .. entre south americains ils se comprennent tu piges - donc, 3. donc pour toutes ces belles choses, JE L'AIME.
Bref, je lui consacre un bout de ce post car il a sortis un album fin 2009 : 'Ay Ay Ay' . Un album sous le signe du vocalisme, full of voix enregistrées. Un album cohérent dans son intégralité, qui nous transporte au fin fond des vallées désertes d' Amérique du Sud ; de Santiago du Chili jusqu'à l'île de Pâques. 'Sans aucun doutes', cet album se laissera dévorer en une seule fois. Il est sans conteste l'un de mes albums préféré de l'année passée.
Maximalement minimal. 'Vooms, Ta-Ca-Cattas, Whoomp'.


+ la touche exclue de chez Kompakt (again) Le video clip est highly recommended.


Yep j'ai bien envie de vous faire voyager. Balkan Beat Box, un gang-crew new-yorkais. Israëlien à la toute base.
.multiples inspirations.
.oriental. folklorique. ragga. fat beats.
.utilisation d'instruments un peu.. exotiques.
.balkanique (vous savez se situent les Balkan hein)
.gipsy rock. hip-hopeux même sometimes (leur référence à Brooklyn)
Donc voila. Tout ce que je peux me permettre de dire, c'est que leur musique est tout sauf non multiculturelle. Je pense même qu'ils doivent être placé au rayon musique du monde à la fnac. D'ailleurs ils ont quelques similarités avec Jesse Rose (posté previously) / ou Jesse Rose a quelques similiarités avec eux. Bref Balkan Beat Box c'est cosmopolite, un métissage d'influences de tarés - des Balkans jusqu'en Israël en passant par la Turquie - car c'est une sorte de collectif d'artistes (ou) grosse bande de musiciens (ils sont 6) venant du monde entier, regroupé entre autre autour d'Ori Kaplan, ex-membre de Gogol Bordello.
Je les avais découvert en 2007 en concert, lorqu'ils présentaient leur album Nu Med (à comprendre Méditérannée. multi culturalitage. ethnisme. Comment ne pas tombé sous le charme de ce style de musique que l'on entend malheureusement si peu souvent.
Pour finir, je ne pourrais que vous conseiller leur nouvel album 'Blue Eyed Black Boy' qui incitera votre corps à bouger - au rythme d'un carnaval south américain - d'une beuverie gypsy balkanique - d'une party dancehall reggaenique - it's up to you. laisse aller ton imagination. comme toujours.
A voir. En LIVE. De préference dans un festival.
Blue Eyed Black Boy : “A magnificent mash-up melding music from every conceivable corner of the globe and its history." – Chicago Sun Times


BONUXXX(ES).
pas d'ordre - as usual -


FOCUS ON

Mr. Raoul K, for the Love of Afro House


Yep tu as de la mémoire, j'ai déjà parlé de ce monsieur sur le I. En 2008 je pense (Le Cercle Peul). Mais il mérite amplement que l'on s'attarde sur lui une seconde fois. Il mériterait que tout le monde parle de lui d'ailleurs (quoi que.. il y a toujours ce petit rapport à l'élitisme qu'on entretient plus ou moins avec -la musique électronique-).
Je rappelle sa bio vite fait. Raoul Konan (le fils des âges farouches. à non c'est Rahan) est un ivoirien, exilé en Allemagne (on comprend mieux hein). Le gars était charpentier jusqu'à y'a pas si longtemps, avant de se lancer à fond dans la musique.
Il a sortis 2-3 trucs sur différents labels dont je ne connais même plus les noms puis a fondé son propre Record Label : Baobab Music, 'For the Love of Afro House'.
Bref en résumé, sa musique est ethnique, tribale - africaine. De la deep house qui traverse les rivières, les frontières, casse les codes sans jamais être chiante ni ennuyeuse. Une macédoine parfaite de rythmes/percussions afro et de tech-house d'inspiration germanique.

En 2008, il sort une série de 12" que l'on pourrait appeler 'Les Peul'. Voici son premier relesase. Plus qu'une perlinette, ce track est une tuerie savanesque (dans le sens savane/savant). Titre qui, dès sa sortie, a été playlisté par Swarz (rien que ça!) et a reçu un super accueil en club (on l'a tous déjà entendu).


Pour l'anecdote : chaque titre de la série Peul est consacré à un instrument africain. 'le Cercle' fait la part belle à la Cora (guitare africaine) et 'le Karantkatrieme' au bafalon (percussion) etc. C'est CHOUET hein...!

Mr Raoul K. Le Karantkatrieme (Baobab Music 2009)

+ BONUX a lil/bit hors sujet


À checker aussi (je ne l'ai pas uploader, faut sortir le porte mastercard parfois amis!) :

Mr Raoul K. Jenseits. (Baobab Music 2008)

Quand à son actu, deux tracks sont sortis sur le nouveau label qu'il vient de créer (le petit frère de Baobab Music) BAOBAB SECRET.

Raoul K feat Lopazz. Mystic Things. (Baobab Secret février 2010)


UN ALBUM UN ALBUM UN ALBUM